Iván Duque n'ira pas à la deuxième réunion de la Commission consultative des relations étrangères : "Il n'a réussi qu'à donner de l'oxygène à la dictature".
Le mardi 27 août prochain, une deuxième séance de la Commission Consultative des Relations Étrangères, convoquée par le gouvernement pour discuter de la crise politique au Venezuela, se tiendra après que les institutions aient reconnu Nicolás Maduro à nouveau comme président du pays voisin.
Concernant ce sujet, l'ancien président colombien Iván Duque a déclaré textuellement que, concernant le Venezuela, l'agenda suivant doit être suivi :
- “Reconnaître Maduro pour ce qu'il est : un dictateur.
- Reconnaître le triomphe d'Edmundo González, soutenu par plus de 83 % des procès-verbaux disponibles sur des plateformes numériques, ce qui a été possible grâce au courageux effort des témoins électoraux de la résistance démocratique.
- Exhorter Maduro à faciliter une transition ordonnée, permettant qu'en janvier 2025, Edmundo González prenne la présidence du Venezuela.
- S'unir au rejet international face aux violations systématiques des droits de l'homme au Venezuela, qui demandent des actions urgentes de la part de la Cour Pénale Internationale.
- Instaurer à la communauté internationale d'intensifier les sanctions les plus sévères possibles contre Maduro, ses collaborateurs proches et leurs familles, en raison de leurs liens avec le narcotrafic.”